La garde de ses filles contre la mort de son chien

La garde de ses filles contre la mort de son chien

Un habitant d'Auch (dpt du Gers) voit la garde de ses filles suspendue à l'euthanasie de son chien, un rottweiler.


Mickaël Lefrançois a divorcé dans la Marne et s'est vu confier la garde des ses deux filles de 4 et 7 ans. Mais le juge a conditionné la garde des enfants au fait qu'il euthanasie son chien, un rottweiler de 7 ans.

Aujourd'hui installé à Auch dans le Gers avec sa nouvelle compagne et l'enfant de celle-ci, il a reçu la visite des services sociaux venus vérifier que l'euthanasie avait bien eu lieu.

Or, Mickaël Lefrançois a donné son chien dès l'énoncé du jugement. Il espère que cette mesure d'éloignement suffira et évitera ainsi l'euthanasie à l'animal.

Les services sociaux viennent de transmettre le certificat de cession de l'animal à leurs homologues marnais. La décision est maintenant entre les mains du juge.


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Une pétition est mise en ligne


A l'attention de aux autorités des diverses associations et de protections animal et des droits des animaux.

A Auch, Mickaël, un père de famille «apte» à posséder un chien de catégorie 2, vit très mal d'être «condamné» pour conserver la garde de ses deux filles âgées de 7 ans et 4 ans, à faire euthanasier Orca, un Rottweiler «pourtant coupable de rien».

Mickaël Lefrançois et sa compagne Agnès, couple « reconstitué », remuent ciel et terre afin que Orca, un rottweiler de 7 ans, ne soit pas euthanasié. S'il s'oppose à cette mesure extrême, Mickaël risque de perdre la garde ses deux fillettes, Cassandra 7 ans et Alicia, 4 ans qui seraient placées en famille d'accueil.
C'est par un récent jugement du tribunal de Verdun que Mickaël, 36 ans, auto-entrepreneur en maintenance informatique et électrique à Auch, a obtenu la garde des enfants. Mais avec pour « bémol », l'injonction d'euthanasier le chien, signifiée dans ce jugement qui a pris en compte les inquiétudes de la mère des fillettes.
« Il n'est pas vrai, se défend Mickaël, que je laisse dormir les petites avec Orca. Faux aussi qu'elles prennent le bain avec lui ». Pour Mickaël, cette mesure extrême est d'autant plus « injuste et incompréhensible » qu'il se dit « parfaitement en règle » quant à la détention d'Orca, chien de catégorie 2. « J'ai passé les tests d'aptitude, un vétérinaire agréé a observé Orca et j'ai le permis de détention décerné par la mairie ».
Selon le vétérinaire, le chien ne présente « pas de risques particuliers de dangerosité en dehors de tous ceux de l'espèce canine ». Pour l'heure Orca est accueilli par un ami du couple, résidant près de Cologne.
Mais cette mesure d'éloignement, décidée par Mickaël et Agnès « pour calmer le jeu », ne peut être que provisoire. « Nous sommes prêts à confier durablement, à un tiers, Orca qui n'a plus que 3/4 ans d'espérance de vie mais nous résoudre à le faire euthanasier alors qu'il n'a jamais fait de mal à une mouche, c'est trop nous demander ! ».
Selon Mickaël, ses deux fillettes aussi sont très attachées au rottweiler : « Comment leur expliquer qu'il faut le tuer alors qu'il n'est coupable de rien ! ». Pour autant le choix de Mickaël et d'Agnès est fait : « Cassandra et Alicia passent avant Orca, évidemment ».
Donc s'il n'y avait vraiment pas de choix, Orca passerait de vie à trépas. Le couple s'emploie aussi à solliciter la SPA et l'association Molosses pour « sauver Orca, coupable de rien ».



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Signé bien sur Rubis

c'est vraiment du nemporte quoi, ça me révolte............... pouffffffffffffffff