stop!! au trafic de chiots, sur facebook.

Pétitio 24.net

Petitions !! contre la vente illégales de chiots, sur le reseau social de Facebook.

Malgré nos nombreux rappels adressés de diverses façons a Facebook, pages dénoncées par signalement etc.., de nombreuses personnes Françaises ,mais surtout Belges détournent les lois de notre pays ...Deux pages sont particulièrement révoltantes : le groupe : "pour les Animaux a donner ou a vendre" qui a pour administratrice A. P., et le groupe "Non !! a l'abandon" dont l'administratrice est F.C..qui sont des particuliers.sans aucunes autorisations

Des chiots y sont vendus par des privés sans agréations et leurs chiennes sont perpétuellement gestantes ….Leurs nichées seraient accidentelles, mais ses personnes possedent plusieurs femelles, et vendent les chiots a peine sevrés pour un montant +ou - de 850 euro ; ils sont marchandés, échangés, donnés, revendus…. Des chihuahuas, des American staffs, toutes les races passent par ses groupes de ventes illégales.

Des vieux chiens sont aussi vendus, donnés pour quelques sous ; c’est tout simplement révoltant..

Des serpents protégés, des oiseaux, des perroquets vert/orange, tout est vendu ou donné…. Des American staffs qui ne sont n'y en ordres, n'y stérilisés subissent le même sort...

Nos refuges euthanasient a pleins temps des milliers d'animaux par semaines, il n'y a plus de places pour eux dans les SPA, nos élus regardent ailleurs, pour ne pas prendre de décisions... Et pendant ce temps d'autres en profitent pour se faire de l’argent facile sur cette misère animale.

Cela doit cesser ! Ces gens doivent respectés la loi sur le bien-être animal. Nous avons décidés tous ensemble d'enrayer ce fléau du réseau social de Facebook ,par diverses actions.

Nous serons nombreux à vous remettre notre pétition pour vous demander d'arrêter enfin ses ventes illégales d'animaux sur Facebook et d’empêcher désormais ce commerce honteux.

Nous espérons vivement être entendus, et compris, et comptons sur votre sagesse pour que ce genre de comportement soit enfin puni très sévèrement.
Nous vous prions de croire, Monsieur le Ministre, en l’assurance de notre considération.

L.R.