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| | Ô ma fourrure, d'où viens-tu? | |
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Kenny fondatrice Fondateur Administrateur
Messages : 4227 Date d'inscription : 16/09/2009 Age : 73 Localisation : aquitaine
| Sujet: Ô ma fourrure, d'où viens-tu? Dim Jan 19 2014, 05:29 | |
| Info : Ô ma fourrure, d'où viens-tu? DÉCLARATION — Dès le 1er mars, une nouvelle ordonnance fédérale obligera les fourreurs à plus de transparence. La maltraitance éventuelle des animaux devra se lire sur l’étiquette.Voici un exemple d'étiquette déjà utilisée par certains membres de SwissFur.
- D'OÙ VIENT-IL? L'étiquette doit afficher l'origine exacte de l'animal. Certains pays étant plus sourcilleux que d'autres sur la protection animale, le consommateur est renseigné sur les risques de maltraitance.
- PIÉGÉ OU ÉLEVÉ? L'étiquette doit mentionner si la fourrure est issue d'un élevage ou de la chasse. Mais elle doit aussi préciser quel type de chasse, piège ou non, et quel genre de cage (tout grillage, par exemple).
- QUEL ANIMAL? Cette mention oblige le fourreur à préciser de quelle espèce d'animal provient la fourrure. Pas moyen de faire passer du lapin pour du loup ou un animal rare pour une bête plus commune.
Andrée-Noëlle PotLes amateurs d’étole en vison ou de manteau de zibeline seront définitivement confrontés en Suisse à la réalité de la production de leurs vêtements en peau de bête. Dès le 1er mars prochain, l’Ordonnance sur la déclaration des fourrures de l’Office fédéral de la sécurité alimentaire et des affaires vétérinaires (OSAV) entre en vigueur dans sa totalité. En clair, les étiquettes des vêtements devront comporter des indications très précises sur la provenance des animaux, ainsi que sur la façon dont ils ont été capturés ou élevés.Élevé sur sol grillagéLa simple doublure d’une veste en lapin de Chine pourrait porter la mention «élevage en cage sur sol grillagé». Sur l’étiquette d’un renard argenté tué en Russie devra figurer clairement «chasse avec piège» ou «chasse sans piège». «C’est un grand pas en avant, se réjouit Luc Fournier, vice-président de la Ligue suisse contre la vivisection et pour les droits de l’animal. Cette ordonnance n’est certes pas une interdiction de la fourrure, mais elle fait appel à la conscience du consommateur.»Même Ivan Benjamin, vice-président de SwissFur, l’association des fourreurs, est favorable à la nouvelle réglementation. «Nous avons collaboré à l’élaboration de l’ordonnance. Nous voulons travailler dans la transparence, c’est tout à notre avantage. De plus, nous renseignons déjà notre clientèle sur la provenance de nos produits sur des étiquettes.»Reste à savoir si l’OSAV a les moyens de faire respecter le règlement. «J’en doute, estime Luc Fournier, cet office est connu pour son manque d’effectifs. Je serais étonné qu’il ait les moyens de vérifier la véracité des étiquettes.» Un avis que ne partage guère Nathalie Rochat, porte-parole de l’OSAV: «Nous avons doublé le personnel affecté aux contrôles et, selon notre analyse, c’est suffisant. Nous planifions, grâce à ces ressources, d’effectuer près de 600 contrôles par an. Si une déclaration se révèle être irrégulière, l’OSAV peut exiger sa rectification au moyen d’une décision administrative.»Marché sans complexeQuant au marché de la fourrure, il serait actuellement en plein essor, selon SwissFur, qui ne donne toutefois pas d’indication chiffrée pour la Suisse. A l’échelle de la planète, le chiffre d’affaires est estimé à 18 milliards de francs. Une clientèle jeune n’hésite plus, malgré le poids des défenseurs de la cause animale, à se vêtir en peaux de bêtes. «Ce qui a changé, ajoute Ivan Benjamin, c’est que la tendance est plus aux vestes qu’aux longs manteaux et la fourrure se porte beaucoup à l’intérieur d’un vêtement, plus discrètement.» Si la fourrure était un signe de richesse pour les générations précédentes, aujourd’hui elle se cache, mais elle n’est pas près de disparaître.
Auteur : Par Victor Fingal. le 15.01.2014
Source : Le Matin
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| | | Kenny fondatrice Fondateur Administrateur
Messages : 4227 Date d'inscription : 16/09/2009 Age : 73 Localisation : aquitaine
| Sujet: Re: Ô ma fourrure, d'où viens-tu? Dim Jan 19 2014, 05:40 | |
| A notre époque ou l'industrie à su créer d’innombrables textiles de très grandes qualités autant que de beauté et de confort nous permettant de supporter les différentes températures climatiques saisonnières, de plus, plus aisé d'entretient et donc plus sain pour notre bien être santé, je ne peux concevoir que l'homme continue à arracher la peaux des animaux pour s'affubler de se qui fait sa laideur.
Si l'humain était conçu pour porter de la fourrure, il serait né avec sa propre fourrure.
Le respect de soi commence par le respect de touts les êtres vivants, quelque soit l'espèce ou la race.
Ne faite pas aux animaux ce que vous ne voudriez pas qu'on vous fasse Laissez les vivre avec leur peaux
Ils ne nous prennent pas la notre
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| | | | Ô ma fourrure, d'où viens-tu? | |
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