P.: AVAAZ
Non à la criminalisation de la protection animale
A DÉMOCRATIE EST EN DANGER ! Traduction Français-Anglais-Espagnol-Italien-Allemand
DÉFENDRE LES DROITS DES ANIMAUX SERA PROCHAINEMENT PERÇU PAR L'EUROPE COMME UNE ACTIVITÉ CRIMINELLE !
L'Europe envisage d'interdire la liberté de déplacement de certains militants de la Cause Animale.
Les militants de la cause animale qualifiés de CRIMINELS ITINÉRANTS, pour reprendre les propos exactes des institutions Européennes.
Défendre les droits des animaux est donc perçu par l'UE comme une action criminelle que la loi doit punir pour éviter sa prolifération.
L'Europe est donc en train de préparer une loi qui interdira le déplacement sur le sol européen des militants de la cause animale et ce dans le but d'empêcher le développement d'une internationale européenne de la cause animale.
LES FAITS
La presse allemande vient de révéler une étude commandée par l'Union Européenne: celle-ci voudrait dans les années à venir interdire le déplacement sur le territoire européen des militants et activistes de la cause animale.
L'Europe est donc en train de préparer une loi qui interdira le déplacement sur le sol européen des militants de la cause animale et ce dans le but d'empêcher le développement d'une internationale européenne de la cause animale. Cette étude, dont certains extraits viennent d'être publiés dans la presse allemande, exprime parfaitement bien ce que les militants de la cause animale représentent pour les institutions européennes: des activistes qualifiés de " criminels itinérants"! Défendre les droits des animaux est donc perçu par l'UE comme une action criminelle que la loi doit punir pour éviter sa prolifération.
Cette expression de " criminels itinérants " est explicitement utilisée dans cette étude qui annonce le pire en matière de répression à l'encontre des militants des droits des animaux. L'UE va donc dans les années à venir criminaliser le mouvement de défense des animaux en se servant de tous les moyens répressifs dont elle dispose au risque de mettre en question les libertés individuelles et publiques et ce dans le but de privilégier et défendre par tous les moyens les intérêts économiques des entreprises qui exploitent et qui vivent de cette exploitation scandaleuse des animaux.
L'UE prend donc partie clairement pour ceux qui se servent des animaux comme biens économiques et donc se range du côté du capitalisme le plus violent. C'est la démocratie elle-même qui sera mise en question avec une telle loi qui interdira tout rassemblement visant à dénoncer telle ou telle entreprise ou institution violant ouvertement les intérêts des animaux et leurs droits à ne pas être maltraités et exploités.
L'Europe est donc en train de tuer l'idée même de démocratie et de liberté d'expression qui constituaient l'une de ses fiertés. Nous savons maintenant que les grandes institutions, nationales et internationales, à savoir les institutions politiques, judiciaires, scientifiques et économiques sont les principaux obstacles à un réel changement dans la domaine des droits des animaux, ce projet de loi le prouve amplement et nous devons dénoncer le fait que l'Europe, de moins en moins démocratique, envisage dans le secret cette restriction inadmissible des libertés individuelles, publiques et de la liberté d'expression.
Les militants de la cause animale, qui font donc peur à l'Europe manifestement, sont et seront de plus en plus surveillés, dénonçons cette surveillance indigne d'Etats démocratiques. C'est la démocratie qui est en danger avec ce projet de loi qui vise à interdire notre liberté de déplacement sur le territoire européen. Notre liberté d'expression sans laquelle la cause animale n'aurait aucune possibilité d'avancer et de faire bouger les lignes de résistance de tous les exploiteurs d'animaux.
Source: . MEDIAPART Septembre 2013
Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs " (Article 35 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du citoyen, et préambule de la Constitution du 24 juin 1793).------------
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