Lisez un peu sa biographie, on comprend vite ces propos....
Il n'a jamais fais d'étude dans l'environnement il n'y connais que dal .....
On se demande comment il a finis ministre de l'environnement etc...
A mon avis c'est tous le gouvernement qui vis dans un pays imaginaire
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Fils de Maurice Le Maire, cadre du groupe Total, et de Viviane Fradin de Belabre, directrice de l'établissement privé catholique Notre-Dame de France à Paris, il entre à l'École normale supérieure en 1989, où il débute des études de littérature française, avec un mémoire sur La Statuaire dans « À la recherche du temps perdu » de Proust, sous la direction de Jean-Yves Tadié[1]. En 1992, il est reçu cacique de l'agrégation de lettres modernes. Diplômé par la suite de l'Institut d'études politiques de Paris, il entre enfin à l'École nationale d'administration (ENA).
À sa sortie de l'ENA, il entre au ministère des Affaires étrangères, à la Direction des Affaires stratégiques, de Sécurité et du Désarmement. Il collabore avec Dominique de Villepin lorsque ce dernier est secrétaire général de la présidence de la République. Il le suit lorsqu'il devient ministre des Affaires étrangères, entre 2002 et 2004. Il a notamment établi l'absence d'armes de destruction massives en Irak durant la crise irakienne de 2002 - 2003. Continuant à suivre le parcours de Dominique de Villepin, il entre au ministère de l'Intérieur en mars 2004 puis à Matignon en mai 2005, où il devient le conseiller politique du Premier ministre. Il est nommé directeur de cabinet du Premier ministre, en remplacement de Pierre Mongin, nommé PDG de la RATP.
Lors des élections législatives de juin 2007, candidat de l'UMP, il est élu député dans la 1re circonscription de l'Eure[2], une circonscription occupée pendant plus de deux décennies par Jean-Louis Debré démissionnaire suite à sa nomination en mars 2007 au Conseil constitutionnel. Il est alors opposé à un élu local, Louis Petiet, président de la fédération UMP de l'Eure, qui est contraint de se présenter comme dissident.
Il est par ailleurs, depuis le 16 mars 2008, conseiller municipal de la ville d'Évreux.
Nommé conseiller politique de l'UMP en avril 2008, il est nommé secrétaire d'État aux Affaires européennes à la place de Jean-Pierre Jouyet (nommé à la tête de l'Autorité des marchés financiers) le 12 décembre 2008. La passation des pouvoirs a eu lieu le 13 décembre au Quai d'Orsay[3].
Seul candidat à la primaire, il est désigné par les militants UMP pour conduire la liste du parti aux élections régionales de 2010 en Haute-Normandie, obtenant 1 502 voix (participation : 34,94 %)[4]. Mais en mars 2010 il ne réussit pas à ravir la région à Alain Le Vern, perdant dans le cadre d'une triangulaire incluant le FN.
Le 23 juin 2009, à la faveur d'un remaniement ministériel, Bruno Le Maire est nommé ministre de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Pêche.
Il a présenté, le 13 janvier 2010 en Conseil des ministres, un projet de loi de modernisation de l'agriculture et de la pêche[5],[6], dont le texte est promulgué le 27 juillet 2010[7].
Le 14 novembre 2010, il est reconduit ministre de l'Agriculture, de l'Alimentation, de la Pêche, de la Ruralité et de l'Aménagement du Territoire au sein du troisième gouvernement Fillon.